Quels liens entre les actions de prévention et le maintien en emploi des personnes à la santé fragile ?
Les salariés qui sont en emploi en 2013 et qui présentent une santé altérée sont 83 % à être en emploi trois ans plus tard, contre 89 % des personnes en bonne santé.
Comme pour les salariés en bonne santé, les plus diplômés et les fonctionnaires ont plus de chances de se maintenir en emploi malgré une santé altérée que les salariés moins diplômés ou en contrat de droit privé (CDD, CDI).
Avoir connu très peu d’interruptions de carrière pour inactivité, ou encore avoir de bons rapports sociaux dans son travail, sont des facteurs favorables au maintien en emploi des salariés à la santé altérée.
De même, les salariés qui, en 2013, avaient bénéficié récemment d’une visite auprès d’un médecin du travail, sont plus nombreux à se maintenir en emploi en 2016 malgré des problèmes de santé.
Le 23 juin 2019
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